Autobiographies-Mémoires

L’amour dans le sang

Charlotte VALANDREY,  2006
A 15 ans, Anne-Charlotte Pascal quitte une vie d’adolescente insouciante pour devenir Charlotte Valandrey, l’héroïne éclatante du film « Rouge baiser ». Vingt ans plus tard, à l’hôpital de la Salpétrière, on lui greffe un nouveau cœur…

L’année de l’éveil

Charles JULIET,  1989
Ses années à l’école des Enfants de Troupe d’Aix,  terribles par la séparation (une fois de plus) de sa famille adoptive, la solitude,   ses silences qui le séparent des autres, le froid, la faim. Puis son amitié avec le Capitaine que tous admirent,  sa première passion …  Grand Prix des Lectrices Elle

L’arbre de la gitane

Alicia DUJOVNE ORTIZ, 1991
Histoire de tous les peuples qui ont jadis débarqué en Argentine et, à travers eux, l’histoire de la narratrice, émigrée depuis douze ans en Europe.

L’art de faire mat

Georges RENAUD,  1947
Pour les joueurs d’échecs.

L’astre mort

Lucien JERPHAGNON, 2017
Ce récit autobiographique révèle le secret intime de Jerphagnon, la mutation mystique et philosophique qui fut à la source de son oeuvre, et dévoile tout un pan de sa vie marqué par un engagement religieux qui a beaucoup compté pour lui.

L’éducation d’un voyou

Gérard FAURÉ, 2021
Fils du médecin de la famille royale marocaine, l’auteur découvre à travers son père plusieurs secrets inavouables de la dynastie : les circonstances troubles de la mort de Mohammed V, et la succession par son fils Hassan  ; les manœuvres des services secrets français pour s’assurer l’obéissance du nouveau roi ; et enfin le complot ourdi par le général Oufkir pour s’emparer du trône. À peine sorti de l’adolescence, Gérard Fauré devient l’amant de Fatima, épouse du général Oufkir….

L’effet Louise

Caroline BOUDET, 2020
 L’auteur revient sur les mois qui ont précédé l’entrée en maternelle de sa fille Louise, porteuse de trisomie 21. Des mois lourds, difficiles, souvent ubuesques : un véritable parcours du combattant pour elle et ses proches

L’élan du coeur

Claude POMPIDOU,  2018
Claude Pompidou a  séduit les Français par un mélange de modernité assumée et de dignité.  Elle se confie ici au sujet de son mari, Matignon et l’Elysée (qu’elle détestait), sans oublier les personnages qui l’ont marqué (de Gaulle, Malraux, Senghor). Elle raconte également, non sans humour, ses traversées des événements politiques, ses rapports avec le monde de l’art,  sa Fondation. 

L’erreur est humaine

Woody ALLEN,  2008
Woody Allen renoue avec un sens du décalage, de la dérision et de l’absurde qui rappelle l’esprit de ses premiers films. Avec, comme toujours, des dialogues à hurler de rire.

L’évangile du gitan

Jean-Marie KERWICH, 2008
En côtoyant les tribus indiennes du Canada,  l’auteur découvre leur poésie et la poésie de la nature et du monde.  Et Dieu n’est pas loin.

        

L’homme de ma vie

Yann QUÉFFELEC,  2015
Raconter l’enfance et les relations qui lient (ou délient) un fils avec son père, n’est pas une démarche anodine. Pas étonnant alors que Yann Quéffélec renoue ici avec le meilleur.

L’homme qui sait parler aux chevaux

Monty ROBERTS,  2001
Cet homme capable de dresser les chevaux les plus indomptables ou de guérir les plus incurables refuse pourtant d’être pris pour un sorcier. Il affirme que sa technique résulte de toute sa vie passée à écouter les chevaux et à apprendre leur langage.

L’Honneur de Sartine

Jean-François PAROT,  2010
Une enquête de Nicolas Le Floch.

L’impossible est un bon début

Salim EJNAÏNI,  2019
« J’étais encore un nouveau-né quand a été décelé un reflet au fond de mon regard. À seize ans, j’ai été plongé dans le noir, cessant définitivement de voir. C’est en devenant aveugle que je suis devenu un vrai cavalier. Aujourd’hui, je monte seul, guidé à l’oreille, dans des compétitions avec des cavaliers de saut d’obstacles valides. »

L’impossible neutralité: Autobiographie d’un historien et militant

Howard ZINN, 2013
« Car l’histoire est pleine de ces moments où, contre toute attente, les gens se sont battus ensemble pour plus de justice et de liberté, et l’ont finalement emporté – pas assez souvent certes, mais suffisamment pour prouver qu’on pourrait faire bien plus. Les acteurs de ces luttes en faveur de la justice sont les êtres humains qui, ne serait-ce qu’un bref moment et même rongés par la peur, osent faire quelque chose. Et ma vie fut pleine de ces individus, ordinaires et extraordinaires, dont la seule existence m’a donné espoir. »