Autobiographies-Mémoires

Histoires et portraits de ROSE-CROIX

Paul VULLIAUD,  1987
La galerie nous montre, au début du XIXe siècle, Willermoz nonagénaire, encore occupé à tisser ses trames et à en ourdir de nouvelles, la loge androgyne du galant chevalier Maçon Mangourit, placée sous le haut patronage de l’Impératrice ; puis, au long de trois chapitres, l’inimitable Frère Charles Geille « amateur de spéculations sublimes », avec ses éminentes relations (Thory, Bédarride, etc.).

Hôtel de La Ponche, un autre regard sur Saint-Tropez

Simone DUCKSTEIN, 2012
La propriétaire de l’hôtel de La Ponche  retrace l’histoire de sa famille,  son amour pour le peintre Jacques Cordier et ressuscite l’ambiance lorsque Saint Tropez n’était qu’un village de pêcheurs.

Il était une fois à Montréal, Tomes 1 et 2: Notre union/notre combat

Michel LANGLOIS, 2018
Milieu du 19ème siècle.  Dans un Montréal en plein changement, épicentre de débats d’idées et de contestations, Henriette et Valois tentent de se situer entre leurs convictions religieuses et ce nouveau courant de pensée qui prône la liberté individuelle.

Il était une oie

MARIE-MARIE,  2021
Le journal tendre et cruel de celle que Serge Gainsbourg appelait « la p’tite Marie », jeune étudiante fraîchement débarquée à Paris, qui partagea trois ans d’intimité avec l’homme à tête de chou et vécut simultanément un amour passionnel.

Il n’y a pas beaucoup d’étoiles ce soir

Sylvie TESTUD,  2003
L’actrice nous emmène à une interview au Plaza, sur un tournage en japonais, acheter du plâtre au BHV, faire l’amour devant vingt personnes pendant huit heures, essayer des robes chez Chanel, tout en refusant de sauter par la fenêtre… Le quotidien d’une actrice, en somme.

Il nous faut de l’amour

Felicity LOTT avec Olivier BELLAMY,  2016
Maréchale chérie par Carlos Kleiber dans un Chevalier à la rose de légende, Comtesse de rêve chez Mozart et Strauss, époustouflante Belle Hélène au théâtre du Châtelet, Felicity Lott retrace ainsi le chemin de sa vie professionnelle et intime avec une liberté de ton, une sensibilité à vif et un humour irrésistible.

Infirmière: La passion de l’hôpital

Michelle BRESSAND,  2006
L’auteure revient sur sa longue carrière et rend hommage à ces femmes qui, en dépit des obstacles, des absurdités de l’administration et des préjugés, soignent et apaisent jours après jour les patients

Interdit aux nomades

Raymond GURÊME, 2011
À 85 ans, Raymond Gurême est l’un des rares survivants d’une page occultée de l’histoire de France : celle de l’internement sur son sol de familles « nomades », de 1940 à 1946.

Ivresse de la métamorphose

Stefan ZWEIG, écrit en 1930/31 et 1938/39 et publié à titre posthume
Un testament romanesque qui nous transporte dans l’Autriche de l’entre-deux-guerres, déjà convoitée comme une proie par Allemagne nazie. 

J’ai cent ans et je voudrais vous dire…

Soeur EMMANUELLE,  2008
Sous la forme d’une longue interview donnée à Annabelle Cayrol et Jacques Duquesne, Sœur Emmanuelle aborde, sans aucun tabou, les sujets les plus personnels et les plus saisissants.

J’ai choisi la liberté

Dr. Nadia VOLF,  2006
Nadia est née en 1961 à Saint-Pétersbourg, avec une raison de vivre : soigner. Major de la faculté de médecine de Leningrad, spécialisée en neurologie, elle est nommée professeur à 26 ans. Un parcours exceptionnel. Or Nadia est juive…

J’ai été volée à mes parents

Céline GIRAUD avec Emilie TREVERT,  2007
Adoptée à l’âge de 16 jours au Pérou, cette jeune Française a toujours cru que ses parents, trop pauvres pour l’élever, l’avaient abandonnée. Mais voilà que cette employée de banque, mère d’une petite fille, découvre soudain qu’elle a été victime d’un réseau de trafiquants d’enfants.

J’ai le regret de vous dire oui

Michel LEGRAND,  2018
Aujourd’hui, Michel Legrand, trois fois oscarisé, auteur d’une oeuvre en équilibre entre jazz, variété, comédie musicale, musique de films, de concert, de scène, de ballet. Il  se raconte avec humour, gravité et liberté, entremêlant présent et passé.

J’aurais voulu être le fils de quelqu’un

Frédéric DEBAN,  2013
« 1968. J’ai quatre ans. Au milieu d’un paisible village, ma main dans celle de ma mère, je me retrouve devant une immense porte rouge. La porte s’ouvre : « Bonjour, madame, voici donc le petit Frédéric ? » (…) Après, tout va très vite. On me tire par le bras, j’avance à reculons en hurlant des « maman ! » auxquels elle ne répond pas. À travers les jupes grises des « fiancées de Jésus », je regarde s’éloigner cette mère venue me déposer ici, comme un paquet. »

J’avais cinq ans

Ouarda SAILLO,  2010
Ouarda a tout juste 5 ans quand son père assassine sa mère.