Autobiographies-Mémoires

J’occupais Royan, 1943-1945

August HAMPE,  2011
Soldat du IIIe Reich,  il occupe Royan mais doute et s’interroge. 

Jalna, Tome 2

Mazo DE LA ROCHE,  1927
Deuxième tome de la saga de la famille Whiteoaks, de 1854 à 1954

Je grandirai plus tard

Elie SEMOUN, 2013
 » Pendant plusieurs mois, je me suis fait violence pour extirper les souvenirs enfouis, pour chercher des anecdotes, raconter mes amitiés, mes amours, mes douleurs, mes rencontres ».

Je le jure

Frédéric DARD,  1975
«Je suis un vieux foetus blasé : Ma vie m’aura servi de leçon. Je ne recommencerai jamais plus.» Ainsi s’achève cette confession hallucinante d’un homme qui pour la première fois arrache le masque du héros -trop célèbre derrière lequel il s’est abrité.
Quelle vie en effet ! Vie d’orgueil et de revanche d’un gosse révolté contre la bêtise des grandes personnes, la pudibonderie lyonnaise, la cruauté des autres enfants .

Je ne sais pas dire non !

Michel GALABRU,  2011
Sur tous, l’acteur a posé un regard plein d’humanité et d’humour. Il se souvient de tout, même de ses trous de mémoire ! Conteur-né, il revient ici sur un demi-siècle de théâtre et de cinéma dont il n’a retenu que le meilleur.

Je ne sais rien… mais je dirai (presque) tout

Yves BERTRAND,  2007
12 ans à la tête des Renseignements Généraux.  Entretiens avec Eric Branca.

Je ne suis pas mort … je dors!

Michel SARDOU,  2021
À travers des dialogues fictifs savoureux avec sa mère, Michel Sardou revient sur les grands moments de sa vie, ses premiers amours, la mort de son père, ses rencontres avec Johnny Hallyday, Barbara, Michel Fugain, Eddy Mitchell…, ses fils à qui il a transmis son âme d’artiste, sa passion pour le théâtre. Avec sa verve et son franc-parler habituels, il jette aussi un regard sans concession sur la société actuelle.

Jésus: Approche historique

José Antonio PAGOLA,  2012
Jésus est présenté comme « un poète de la compassion » qui annonce avant tout un Dieu qui aime la vie.

Jeunesse

Pierre NORA, 2021
Un roman d’apprentissage:  « Je me suis spontanément concentré sur les traits singuliers de mes jeunes années : la guerre de neuf à treize ans pour un enfant juif ; une famille faite d’individualités fortes ; une impossibilité à me plier aux normes universitaires sans pouvoir cependant m’en détacher ; une initiation amoureuse des moins banales ; une ouverture à plusieurs types de vie qui n’a pas été offerte à tous. Une jeunesse qui m’a fait ce que je suis.« 

Journal

Shikibu MURASAKI,  édition de 2014
Un recueil d’anecdotes sur la vie à la cour de Heian écrit par l’ auteur du célèbre Dit du Genji  probablement entre 1008 et 1010. Une partie décrit les cérémonies pour la naissance du premier fils de l’impératrice Shōshi, le reste décrit les relations de Murasaki avec les autres dames de compagnie et ses réflexions plus personnelles sur la vie au palais, la fuite du temps et les relations humaines.

Journal

Franz KAFKA, édité en 2002
Kafka (1883-1924) relate tout ce qui l’envahit et l’abat : peur de la maladie et de la solitude, désir et crainte du mariage, lutte contre le milieu familial et religieux.

Journal d’un étranger à Paris

Curzio MALAPARTE,  1947-48
 « C’est la découverte d’une nouvelle France, d’un nouveau peuple français, c’est le portrait d’un moment de l’histoire de la nation française, qui coïncide avec un moment particulier de ma vie ».

Journal, 1939-1940

Roland de MARGERIE,  2010
Journal d’un diplomate,  membre du cabinet de Paul Reynaud pendant le conflit.

Juste après la vague

Sandrine COLLETTE,  2018
Une maison haut perchée entourée d’un océan menaçant.  Un couple et ses neuf enfants doivent s’embarquer pour atteindre les hautes terres, mais il n’y a pas de place pour tout le monde…

L’amour à perpétuité

Jeanne CHAMPION, 1999
La rencontre – on devrait dire le télescopage – de Gabrielle et de Konrad – ne pouvait pas produire plus forte déflagration. Un amour aussi violent qu’impossible, un amour condamné à la perpétuité. Ce roman, récit et fable à la fois, est autobiographique. Pourquoi l’a-t-on écrit, Pour oublier les années à venir, la solitude désormais inéluctable, pour se pardonner d’être là alors que l’autre est mort.