Témoignages

Croire sans voir

Vincent MICHEL,  2020
De sa naissance, aveugle,  en 1950  à celle de ses quatre enfants, en passant par un pensionnat sordide, des études à l’université de Nanterre, un engagement social et politique, et son parcours professionnel et  associatif, l’auteur relate avec humour et tendresse chacune des étapes de cette existence vraiment pas comme les autres.

Croisière en solitaire sur le voilier autiste

Olivier MEYNIER,  
Ce témoignage renferme à la fois l’expérience d’un parcours personnel et un espoir pour tous les autistes et leur entourage.

D’autres vies que la mienne

Emmanuel CARRÈRE, 2009

Dans la peau d’un maton

Arthur FRAYER,  2011
Pour voir par lui-même ce qui se passe les prisons, l’auteur,  journaliste,  a passé le concours de gardien de prison et est devenu, l’espace de quelques mois, un « infiltré ». En stage à Fleury-Mérogis, puis en poste à Orléans, il raconte ses mois passés en détention.

Dans la peau d’une djihadiste

Anna ERELLE, 2015
Enquête au coeur des filières de recrutement de l’État islamique.

De chair et de fer

Charlotte PUISEUX,  2022
Sous-titre:  Vivre et lutter dans une société validiste
« Dès l’instant où je suis née, j’ai porté sur moi les marques évidentes du handicap. Ma relégation aux marges de la société s’est alors installée irrémédiablement et il semblait naturel que mon existence se déroule en bas de la hiérarchie des vies humaines. Mais ce destin tragique n’a rien de naturel : il est écrit par une société qui érige des normes à coups de mesures légales et d’examens médicaux et exclut certains corps, certaines vies. « 

De cœur inconnu

Charlotte VALANDREY, 2011

L’histoire d’une greffe du coeur.

De Kaboul à Calais

Wali MOHAMMADI,  2008
Orphelin – son père, emprisonné par les talibans, est mort sous la torture, sa mère a été tuée par une bombe sur un marché -, il a quitté Kaboul à l’âge de quinze ans, car il n’avait plus rien à perdre, sauf la vie.

Dénonciation légitime

Hélène CAPON,  2011
« Le 21 juillet 2009 signe, je l espère, la fin de mon calvaire. Je vais raconter ce que j ai vécu, ou plutôt enduré, en tant que maman d un enfant handicapé mental. »

Des enfants racontent leur vie avant la naissance

Wayne D. DYER et Dee GARNES,  2018
 Récits où des enfants révèlent leurs réminiscences du temps qui a précédé leur naissance. Ils racontent leurs dialogues avec Dieu, évoquent des membres de leur famille décédés, donnent des preuves qu’ils ont eu leur mot à dire dans le choix de leurs parents et de l’époque de leur séjour sur Terre, et parlent éloquemment e d’un type d’amour divin qui existe au-delà du règne physique.

Des mots pour dire des vies SEX’traordinaires

COLLECTIF
Témoignages de personnes en situation de handicap sur le thème de la vie affective et sexuelle.

Désert solitaire

Edward ABBEY,  1968
À la fin des années 1950, Abbey travaille deux saisons comme ranger dans le parc national des Arches, en plein cœur du désert de l’Utah. Une dizaine d’années plus tard, il constate avec effroi que le progrès est passé par là. Un  chant d’amour à la sauvagerie du monde, et un formidable coup de colère. 

Deux petits pas sur le sable mouillé

Anne-Dauphine JULLIAND,  2013

Thaïs est atteinte d’une maladie génétique orpheline. Elle vient de fêter ses deux ans et il ne lui reste plus que quelques mois à vivre… Un livre plein de courage et d’espoir.

Diagnostic incurable mais revenue guérie à la suite d’une NDE

Anita MOORJANI,  2012
En 2006, Anita est en phase terminale d’un cancer lymphatique. Elle tombe dans le coma, et alors que les médecins avisent sa famille qu’il ne lui reste plus que 36 heures à vivre, elle fait une NDE (Expérience de mort imminente). Elle revient en ce monde avec une compréhension nouvelle de sa vie et de sa « raison d’être » sur terre. 

Dialogue avec moi-même

Polo TONKA,  2013
« Lorsque je croupissais chez moi, torturé, malmené, je me disais : un jour, j’écrirai un livre sur ce que j’ai traversé, pour dire au monde l’atrocité de cette guerre de l’intime. […]  J’ai pour cela décidé d’une rencontre entre deux parties de mon être que je nomme moi et moi-même, afin de mieux enseigner cette division de l’être qu’est la schizophrénie et pour me permettre d’initier en moi, par ce travail salvateur, une réunion de mon âme tellement nécessaire. »